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Reporter en Herbe

19 avril 2010

MESSAGE TEMPORAIRE: une nouvelle fois la

MESSAGE TEMPORAIRE:

une nouvelle fois la connexion est très mauvaise ici. je vous demanderai un peu d'indulgence qu'en à pouvoir lire la suite de mes aventures. Il y a beaucoup à dire depuis mon week end découverte à La Paz et à Copacabana. Mon travail avance lui aussi très bien... et surtout très vite ! Je vous tiens au courant dès qu'il y aura une possibilité de connexion à internet, supérieure à 10 minutes.

merci de votre patience. A très vite.

sradhanjali

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17 avril 2010

Autour du lac Titicaca

Nous partîmes toutes les trois à 7h30 dans un minibus pour le Lac Titicaca. Nous n'étions pas plus de dix personnes. April qui avait toujours la langue bien pendue, raconta notre périple au couple de Canadien juste derrière nous. Le deuxième couple qui ne parlait qu'espagnol tentait difficilement de suivre. Je profitai de ces trois heurs qui nous étaient offertes pour écrire un peu. Carina, quant à elle, s'endormît rapidement. De temps à autre, je levais la tête pour voir les paysages déserts de roches puis de verdures et enfin de l'eau, à perte de vue. Le deuxième chauffeur nous dit que nous étions sur le seul lac au monde (de cette dimension) à plus de 3000 mètre au dessus du niveau de la mer. Whoua ! Au bout d'un peu moins de deux heures de routes le moteur s'arrêta. Nous étions donc coincés dans les montagnes entre les paysages les plus beaux et les plus déserts !

J'avoue que la situation m'a bien amusée. Je n'étais pas spécialement paniquée du fait qu'on était plus de dix dont les deux chauffeurs qui étaient du coin. En plus, la chance nous sourit rapidement: un autre bus de touristes pour le lac passa dans le quart d'heure qui suivit la panne. Nous pûmes tous monter dedans et continuer jusqu'à bon port. Une fois dans Copacabana, nous pûmes une nouvelle fois , trouver un petit hôtel pour déposer nos gros sacs et partit visiter. Nous retrouvâmes deux autres volontaires sur place: Corina et Becky. Nous avons pris cinq billet pour aller visiter la partie sud de l'Isla Del Sol: Une des petites îles qui étaient sur le lac.

16 avril 2010

départ pour La Paz

À 6h30, ce matin je fus réveillée par deux personnes qui chantaient dans la rue. Oui, notre maison comme beaucoup d'autres n'était pas spécialement insonorisée. Je partie donc travailler un peu plus tôt. En arrivant au journal, Carmen me dis que Ximena était occupée mais qu'elle arriverait en fin de matinée. Je commençais donc à travailler seule. mon défi aujourd'hui serait de trouver un sujet d'article, mais quoi choisir... la question me semblait une peu vaste, alors pour m'aider je décida de lister les 50 derniers sujets parût dans le Cocha-banner. Il y avait des sujets sur tout: faune, flore, uses et coutumes, évènements importants, festival... mais rien qui m'inspira. Et puis, je me mis à chercher des différences avec la France. Parmi tout ce que j'avais pu voir depuis le début de mon séjour en Bolivie, qu'est ce qui m'avait choqué ou amusé, ou juste retenu mon attention. Il y avait bien les femmes Quechuas mais un articles sur cette grande population était apparut il ni avait pas si longtemps. Et puis je pensai aux bus: ces grands bus colorés, sans portes pour la plus part.... Et puis il y avait les Trufis: petit taxi où on pouvait rentrer jusqu'à douze. A partir de là, plusieurs questions me vinrent en tête. Mais c'était bon, je tenais mon sujet ! j'eus juste le temps de faire des recherches préliminaire que déjà Carmen arriva pour nous dire que le bureau fermerait plutôt du faite de l'absence prolongée de Ximena. Je repartie donc pour chez moi, la tête remplis de nouvelles idées. Une fois arrivée, je montai préparer mon sac pour le week end: J'allais partir voir de plus près le fameux lac Titicaca, avec deux autres volontaires.

Nous nous donnâmes rendez vous à l'aéroport International Jorge WilstermannWilstermann et nous embarquâmes toutes les trois  vers 14h. C'est vrai que je ne m'étais pas posé la question de savoir s'il y avait un autre moyen pour se rendre à la Paz. Et bien si ,il y en avait un: 7h de bus pour 60bs. C'était faisable de nuit; du coup,  je ne compris pas toute suite pourquoi nous n'avions pas opté pour cette option ci. Quand je questionna April, la jeune canadienne du trio, elle me répondit que l'avion était un grand gains de temps et un plus niveau confort. Moi, le confort je m'en moquais un peu. Mine de rien, l'avion nous aura coûté pas moi de 700 bs (soit près de treize fois plus cher !). Comme pour la fable du Corbeau et du Renard, je jura, mais un peu tard, qu'on ne mis prendrais plus !

Nous arrivâmes à la Paz sur au alentour de 16h. Nous primes un taxi et nous rendîmes vers l'hôtel le plus proche. nous pûmes ainsi poser toutes nos affaires pour partir (légèrement équipé) vers le centre. Nous voulions absolument visiter la prison de San Pedro: elle était connut pour la façon dont elle était tenue; en effet, à l'intérieur , il n'y avait pas de garde, les détenus s'autogerraient. Par conséquent , il y avait une moyenne de quatre morts par mois. À l'intérieur, il avait tout le confort et devait travailler pour payer leur entretient, nous disait le LovelyPlanetLovelyPlanet d'April. Car on ne pu la visiter: les heures d'ouvertures étaient très strictes donc quand deux hommes armés devant l'entrée vous disaient "non impossible après 16h", vous n'insistiez pas. Par conséquent, April, Carina et moi partîmes faire du shopping. Les rues étaient envahies de petits commerces traditionnels à très bas prix. Avant ce jour, jamais Carina et moi même n'avions dépensé autant d'argent. Et une fois les comptes fait, nous réalisâmes, qu'une fois revenue à l'euro, nos dépenses ne dépassèrent pas les 30 euros. Incroyable et merveilleux ! Le soir, nous partîmes à la rencontre des autres volontaires venus à la Paz en bus. Nous mangeâmes tous ensembles et établirent nos plan pour le lendemain. nous parlâmes un long moment avec Louis, l'israélien de 25 ans rencontré à l'entrée du restaurant. Il avait parcours en solitaire la moitié de l'Amérique du sud durant ces six derniers mois. Son parcours était très intéressant et riches de belles rencontres. D'ici un petit mois, il partirait pour le Chili. Nous passâmes la fin de la soirée tous ensemble et rejoignîmes ensuite nos hôtels respectifs.

Aujourd'hui, journée bien remplie et riche en découvertes; et demain... demain paraissait suivre le même sillon...

15 avril 2010

une matinée efficace

Ce matin, quand je suis arrivée à l'officina, un de taille défi m'attendait .

Il manquait un petit article dans une rubrique du journal. En moins d'une heure et demie, j'ai dut créer un article en anglais d'une 15 lignes ! Mine de rien, pour organiser mes idées (en anglais), me rappeler des détails de cet évènement et écrire quelque chose de correct... ce n'était pas des plus simple. mais en même temps c'est mon travail !

Je me suis donc activée a la tache pour faire vite mais surtout bien !  Jamy, jeune anglais arrive il y a deux jours, a relut mon papier a la demande de Ximena. Il est normal d'attendre d'un journal que la syntaxe soit correcte. Il m'a donc relut avec soin;  Au final, nous n'avons retouché que trois phrases: il me dit que mon anglais était correct et mon article pas mal ! Un anglais qui me dit ça, a moi... Je fus très agréablement surprise !

Puis je suis rentrée, juste le temps de manger et de repartir.

En effet, avec Emma et Rocio, deux autres volontaires du Cocha-banner, nous devions aller interroger un professeur de self defense. Cependant, nous devions passer un endroit, près du pont, où normalement on ne doit pas aller. On nous avait prévenu de ne jamais aller seule, dans certains endroits mais la on était trois et on avait un accord en aval. Nous y sommes allée en pleins milieu d'après midi. Heureusement, tout c'est bien passe et nous avons donc pu parler tranquillement en espagnol a ce professeur; mais que peu de temps car il était en train de donner un cours. Nous avons pris ensemble une autre date et l'avons remercié de nous avoir reçut.

Nous sommes repartie ensemble, contente de cette première en entrevue.

En début de soirée, nous sommes sortie, Alyssa et moi, retrouver d'autres volontaires dans le centre ville pour fêter un anniversaire. Alexender venait d'avoir 22 ans et pour fêter cela nous sommes allés dans un restaurant typiquement bolivien. C'était vraiment très bon. L'anglais fusait de toutes les bouches. Par moment, je me perdais dans ces conversations si rapides et si dynamique... qu'importe, ce fut une très bonne soirée !

14 avril 2010

finalisation

Ce matin, je suis arrivée un peu en retard, parce que comme les Micros passent quand il veulent ici... en tout cas, visiblement, ce matin là, aucun n'avait voulu !

Bref, pour voir comment j'écrivais Ximena m'avait demandé une page en français, sur mes premiers jours ici et ce qui me plaisait. Je mis en avant toutes les couleurs et les odeurs sucrées qu'il nous étaient offert de voir en ces lieux; Je parlai aussi beaucoup des marchés, où je pouvais me promener des heures durant, en étant tout ce qu'il y a de plus émerveillée !

Je finie aussi mon travail sur les Places de Cochabamba, en anglais, ainsi que mes recherches en espagnol sur Alejandra. Rien de très nouveaux mais chaques détails me permettaient d'affiner mes questions pour demain. Ximena acquiesça mon travail. mais je ne pu pas travailler trop longtemps, car ce matin on nous livrait de nouveau ordinateur. Enfin !

Il était devenu difficile de travailler à cinq sur seulement deux ordinateurs. Rocio et Hussein avaient le leur donc ça allait encore, mais là, deux nouveau allaient arriver. Ça n'aurait pas été tenable longtemps. Moi, j'en ai bien un, mais il n'y avait pas de connection WI-FI dans les locaux. En plus, j'aurai eu un peu de mal à le transporter: comme il était un peu grand, il aurait été trop voyant dans le bus. Déjà que je n'étais pas très alaise que je me promenais avec mon appareille photo dans mon sac ...

Enfin, maintenant, nous en avions deux de plus.

Je profitais de mon après midi de libre pour partir en ville: j'ai enfin trouver des cartes postales, ce qui était en soit, un véritable prodige. Il y a des commerçants qui ne voyaient même pas à quoi ça pouvait ressembler. Puis je m'arrêtai dans un cyber café pour rattraper mon retard dans mon blog. Seulement j'étais très déçue de me pouvoir mettre aucune photo !

Finalement je suis rentée en fin d'après midi. Le soir nous sommes allée au cinéma avec plusieurs filles du groupe. Ici, le mercredi soir, dans les cinémas, il y avait l'offre dos para uno ( soit deux entrées pour le prix d'une) ! Mais il y avait trop de monde et nous n' avons pas pu avoir de place pour la séance (verdades que matan). Et bien sur, impossible d'en voir une autre !

Nous sommes donc rentrées bredouilles . Nous voulions marcher un peu mais la nuit était tombée. Vu les fréquentations qu'il y avait autour du cinéma, nous avons préféré jouer la carte de la prudence et prendre un taxi.

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13 avril 2010

la Caja Verde

Épuisée par la veille je dormis pour la première fois jusqu'à 8h30. Cette grasse matinée me fit le plus grand bien.

Aujourd'hui, je ne commençais qu'à 14h. J'en profitai donc pour faire une lessive, à la main bien sur. J'étais contente de l'avoir déjà fait une fois, au par-avant; Parce qu'aussi bête que ça puisse paraître, quand on ne sait pas faire, on ne sait pas faire ! Alors, toute contente, je suis partie laver mon linge dans la petite cabane derrière la maison. Ensuite je suis rentrée pour mettre toutes mes idées sur papiers. Je m'y affairais jusqu'à midi.

Après le repas, je partie travailler  -encore maintenant, cette expression me fait sourire: oui, je travaille dans un vrai journal, comme une vrai journaliste; cette idée me plaisait bien ! - 

Une fois avoir tout exposé mes recherches à Ximena, je continuer mon travail sur Alejandra Dorado. Je découvris alors que la Caja  Verde était une association pour peintres baroques aveugles. C'était un concept très intéressant. Seulement , la`encore, il n'y avait que trop peut de documentations dessus. Je me demandais quel serait le rôle de la Caja Verde dans la Jornada ... seule, Alejandra pourrait me le dire. Il fallait que je creuse plus mais comment. Ximena me conseilla de relire l'article d'Emma. Ce que je fis attentivement mais j'y trouvai plus d'information sur son travail que sur la Caja Verde .

Pour ne pas perdre mon temps non plus, je commençai mon papier sur les lieux à voir dans Cochabamba. Je citai les différentes églises que j'avais photographié la veille, ainsi que la visite que l'on pouvais faire de la grande statue Del Christo, en haut une pointe du Tunari (nom d'une la partie de la Cordillère). Mais il n'était possible d'y accéder que par téléphérique. Je parlai ensuite Del Día De Los Niños: tous les lundis c'était la fête des enfants alors les rues étaient très animées. Je ne pas le temps de parler des grandes places et des marchés, mais ce n'était que partie remise à demain !

12 avril 2010

le début du travail

Ce matin là, c'était mon premier vrai jour de travail.

En effet, après une petite réunion avec tous les volontaires du Cocha-banner, Ximena m'avait donné mon sujet: Jeudi, je pourrais partir interviewer Alejandra Dorado, peintre baroque assez connue en Bolivie. Je commençai donc mes premières investigations de journaliste; mais je découvris que le mois précédent elle avait déjà répondu aux questions d'Emma  (autre volontaire) sur son travail. Je décidais alors de plus cibler mes questions sur l'évènement à paraître: La Jornada. C'était une sorte d'exposition d'art baroque. Où, quand, comment, pourquoi et pour qui... je ne le savais pas encore. Sur internet, il n'y avaient que peu d'informations à ce sujet. Je devais donc bien préparer mon entretient avec elle.

C'est ainsi que je découvrais que le but d'Alejandra Dorado, à travers la peinture et la création, était de de surprendre et de provoquer; elle avait, pour cela, peint plusieurs toiles avec son sang. A ceci, elle avait ajouté différents symboles religieux, parce que, selon elle, il était plus aisé de comprendre un message à travers les stéréotypes ecclésiastiques.

Elle était aussi la directrice de la "Caja Verde". Je voulais approfondir se terrain sur lequel je ne savais presque rien, mais déjà l'heure de partir sonnait. Oui, ici, on ne travail que des demie journée .

Je rentrai donc pour manger mais repartie tout de suite après vers le centre; Je me dirigeais vers la Plaza Colón, comme Ximena me l'avait conseillé avant que je parte. Parce que non loin de là, il y avait un centre touristique d'informations virtuelles que je devais voir pour mieux rédiger mon deuxième papier;

En effet, je devais écrire une page en anglais, sur les monuments ou places importantes de Cochabamba. Je n'étais pas des plus alaise avec le faite d'y aller seule mais bon, quand il faut y aller... Je pris donc mon courage à deux mains et mon plan sous le bras, et partie à la recherche de ce centre. Après avoir demander ma route à deux reprises, je trouvais enfin.

Ce centre proposait toutes les informations gratuites, sur les lieux les plus touristiques, dans et autour de Cochabamba. Mon espagnol s'étant bien amélioré au fil des jours, je me permis même de demander quelques conseils à la jeune femme de l'accueil. Contente d'avoir tout compris, je (re)partie à l'aventure, déambulant dans les rues du centre, à la recherche de telle Église ou telle Grande Place...

Finalement, je ne me débrouillai pas si mal ! La tête pleine de nouvelles images et informations, je décidai de rentrer en taxi (que j'ai appelé et dirigé toute seule !) vers 18h. J'étais très contente de ma journée.

Demain, pensais je, j'aurai beaucoup de chose à écrire ...

11 avril 2010

Un dimanche bien chargé

Avec Alyssa, nous sommes partie vers 10h pour visiter le parc de Pairumani.100_6145 Nous arrivâmes dans le parc 1h plus tard et nous commençâmes à marcher. Une grande promenade dans des petits sentiers escarpés était obligatoire pour atteindre le sommet de la montagne, où se trouvait la fameuse cascade.

Une fois notre ascension finie, nous avons pu profiter de la fraîcheur de l'eau en marchant le long du ruisseau. On a rencontrer des gens qui s'y baignaient, tout habillé. C'était très beau mais pas très entretenu... Cependant cela offrait un coté très authentique à cet endroit; comme si la faune et la flore locale nous montrait qu'elles étaient (encore) les seules propriétaires des lieux. L'empreinte humaine était pourtant bien visible, quand on regardait cette rivière, qui n'était à présent plus qu'un petit ruisseau pollué ...

Nous avons pique-niquer là haut, puis nous sommes redescendues vers sous une chaleur écrasante qui ne cessait de croître.

Nous avons ensuite rejoint Mariela et Carla vers 16h, direction La Cancha ! C'était en effet assez impressionnant: ce n'était plus un marché mais une micro-ville !

Nous sommes restées au moins 2h et malgré cela je continuais de découvrir encore et encore de nouvelles choses. La encore il y avait de tout, du plus classique (vêtements) au plus improbable (fruits non comestibles), en passant par le plus effrayant (armes).

Sur le chemin du retour, nous primes un Trufi; mais comme c'était la fin de la journée, il y avait beaucoup de monde sur les routes et nous avancions pas très vite. Toutes fenêtres ouvertes nous patientions; quand soudain, un homme venu de nulle part, a passé le bras à l'intérieur de la voiture. Il tenta de dérober le portable d'une passagère qui venait de terminer un appel. Alyssa et moi étions sans voix. Pas de chance pour le voleur, la jeune femme avait juste eu le temps de le ranger, mais il s'en est fallut de peu. Alyssa et moi même tenions fermement nos sacs contre nous. Dix minutes plus tard, j'y pensais encore... quand un deuxième homme passa lui aussi son bras par la fenêtre du Trufi. Incroyable, deux fois en moins d'un quart d'heure ! De plus, j'étais presque sûre que le premier n'avait pas 15 ans. Et enfin, le chauffeur ferma les fenêtres: il était tant ! Cette fois encore, rien ne fut volé. Après cela, nous pûmes rentrer plus tranquillement; cependant, nous en avons reparlé toute la soirée...

10 avril 2010

improvisation d'un week end

Le week end, personne ne travail. C'est pour cela que les volontaires de Project Abroad prévoient des excursions les  fins de semaines: pour visiter, mais aussi pour éviter de rester bloqué à Cochabamba pendant deux jours, parce que tous les commerçants sont fermés.

N'étant arrivée que le veille, il était un peu tard pour que j'aille avec une partie du groupe à Sucre, la capitale;  ou descendre un peu plus bas, pour faire du canoë. Les deux m'auraient beaucoup plus, seulement, pour l'un, il aurait fallut réserver plutôt, et pour l'autre, une bonne protection contre le paludisme était plus que nécessaire, pour ces régions tropicales où sévissaient les moustiques . 

Du coup, avec Alyssa, Mariela et Carla nous nous improvisâmes une journée marchés. il y avait un petit marché à deux rues de la maison. Mariela y achetait tous les légumes pour la semaine. Puis nous en avons visité d'autres, couverts et ouverts, où on pouvait tout trouver: fruits et légumes de toutes sortes, vêtements, jouets, bijoux, accessoires, boissons, animaux, antennes de télévisions... tout !

j'étais admirative devant toutes ces femmes Quechuas, qui attendaient patiemment toute la journée durant, au soleil (pour les moins chanceuses), avec leurs bébés dans le dos. un tissu épais aux couleurs vives, était accroché à une de leurs épaules et faisait office de sac où de berceau ! Et malgré cela, je les trouvais rayonnantes avec leurs longues tresses et leurs grands chapeaux ...

Nous sommes rentrées en fin d'après midi. Et Mariela me promis de m'emmener voir le grand grand marcher de La Cancha demain. Nous devrons prendre que le strict minimum car ce dernier était tristement connut pour ses pièges et ses parties dangereuses...

9 avril 2010

et c'est parti !

photosam_041ici pas de réveil matin plus efficace que le soleil ! Après  8h du matin (soit 14h, en France), impossible de dormir encore ! mais ça offre déjà de belles nuits ! 

Carmen est venue me chercher ce matin pour m'emmener à mon premier jour de travail et pour m'expliquer un peu comment marchaient les bus: ici, pas d'arrêt ou d'heure de passage; il faut simplement se mettre sur la trajectoire du bus attendu (ou Micros) et le stopper un geste de la main. Là, ce n'est pas le bus qui s'arrête pour toi, mais toi qui arrêtes le bus ! mais souvent trop rempli et un peu dangereux, il est préférable de prendre les Trufis. Entre le minibus et le taxi, ce petit véhicule contient normalement que 9 ou 12 places (par rangées de 3 sièges), mais il n'est pas rare de se retrouver à 14. Et dans tous ces véhicules, les ceintures de sécurité sont inexistantes.

Freddy, qui travail aussi à l'officina, m'a fait visite le centre ville. j'ai pu y retirer des Bolivianos, monnaie nationale.

1 Euro représente environ 10 Bolivianos; donc la vie n'est pas très chère: 1.5 Bs pour un trajet en bus, soit 0.15 centimes d'euros.

Par la ensuite, nous sommes renté à l'officina et ce fut au tour de Ximena de m'apprendre de nouvelles choses;

Ximena, c'est la responsable du mensuel anglais, Cocha-banner. mais avant de me parler du journal, elle me rappela des règles de sécurités comme, jamais utiliser les Micros une fois la nuit tombée, ne jamais monter dans une voiture de police quelqu'en soit la raison, toujours avoir des photocopies de mon passeport et visa sur moi, rien de valeur dans les poches...

Puis, elle me donna pas mal de lecture, en anglais mais aussi en espagnol, pour me mettre à jour sur le journal, sur ce qu'on pouvait y écrire ou pas et sur mon rôle.

Je m'étonnais de la bonne compréhension que j'avais de tous ces textes. C'était le métier qui rentrait !

Puis, je rentrai "chez moi" en fin d'après midi, avec les 10 derniers exemplaires du Cocha-banner, à étudier.photosam_030

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